Le confinement du premier semestre 2020 n’est pas loin derrière nous et je rencontre Agnès et Ruth, deux auxiliaires de vie qui sortent d’une période intense et sont joyeuses à l’idée de témoigner sur le Journal d’une aidante. Au sein de la structure qui les emploie, ALENVI, on les appelle des « auxiliaires d’envie ».
Nous entamons un dialogue dont la durée dépasse le temps que j’avais imaginé et j’en ressors pleine d’émotions positives. L’impact énorme de la situation sanitaire sur leur travail quotidien n’a pas entamé leur enthousiasme à exercer une profession qu’elles aiment par-dessus tout. De quoi doper les familles qui œuvrent pour le maintien à domicile et confient leur proche vieillissant à une auxiliaire de vie quelques heures chaque semaine. La preuve ci-après.
Nous entamons un dialogue dont la durée dépasse le temps que j’avais imaginé et j’en ressors pleine d’émotions positives. L’impact énorme de la situation sanitaire sur leur travail quotidien n’a pas entamé leur enthousiasme à exercer une profession qu’elles aiment par-dessus tout. De quoi doper les familles qui œuvrent pour le maintien à domicile et confient leur proche vieillissant à une auxiliaire de vie quelques heures chaque semaine. La preuve ci-après.
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